mardi 28 octobre 2014

428,000 becquerels of cesium per liter of water

Tokyo Electric Power Company, or TEPCO, says the levels of radioactive cesium in the compound's groundwater at the damaged Fukushima Daiichi nuclear plant fluctuated greatly last week.TEPCO detected the highest concentration of cesium in samples of water taken from 2 monitoring wells near a reactor building on Wednesday.One well had 428,000 becquerels of cesium per liter of water, while the other contained 458,000 becquerels.But only 2 days later, the reading in the first well had dropped to 5,200 becquerels, or one-eightieth of the level detected on Wednesday.  The concentration in the other well stood at 470 becquerels, or about one-one-thousandth of the previous quantity.TEPCO says these wells are connected underground with other wells that are highly contaminated.  So the operator believes cesium poured into them with this month's heavy rains and then flowed out with the underground water.The utility says this problem cannot be fundamentally solved because the area around the wells thought to be the source of the contamination has extremely high radiation levels and cannot be decontaminated.The 2 wells are among those from which tainted groundwater is pumped and discharged into the sea after being decontaminated.But TEPCO has suspended the operation and is considering whether to resume the work.

Oct. 28, 2014 - Updated 04:49

jeudi 23 octobre 2014

Technologie japonaise pour traiter 50 conteneurs réacteurs nucléaires sous marin russe dans la mer du Japon

Des officiels russes ont dévoilé un conteneur conçu pour stocker le réacteur d'un sous-marin nucléaire mis hors service.

Ils démantèlent actuellement des sous-marins nucléaires utilisés par l'ex-armée soviétique près de Vladivostok, dans l'Extrême-Orient russe.

Les techniciens ont retiré les réacteurs et les ont déposés dans des conteneurs étanches de grandes dimensions, mouillés le long de la côte de la mer du Japon.

Ils ont commencé à transporter les conteneurs à terre. Ils utilisent une technologie fournie par le Japon pour appliquer un revêtement protecteur contre la rouille, causée par l'eau de mer et le vent. 

Le processus a lieu dans une installation construite avec près de 7 millions de dollars fournis par le gouvernement japonais.

Les techniciens ont traité trois conteneurs à ce jour. Cinquante autres attendent au large de la côte.

Les autorités envisagent de tous les transporter à terre d'ici 2020 pour qu'un revêtement leur soit appliqué.

Le gouvernement japonais a aussi fourni à la Russie des grues et d'autres équipements.

dismantling the cover of a reactor building

The operator of the Fukushima Daiichi nuclear power plant has begun dismantling the cover of a reactor building to remove debris as part of preparations for removing the nuclear fuel from a spent fuel storage pool.Tokyo Electric Power Company started the work on Wednesday at the No. 1 reactor building.  The cover was installed after the 2011 accident to prevent the dispersal of radioactive materials.Using a remote-controlled crane, workers made holes in the ceiling and sprayed chemicals to prevent dust from spreading.  The utility plans to make a total of 48 holes and to spray chemicals for about a week.Then, starting around October 30th, they will remove part of the ceiling to see whether any dust comes off.The operator hopes to begin full-scale dismantling of the cover in March and complete the task in about a year.It expects to start clearing the debris in 2016.The operator says it will monitor the possible spread of radioactive materials and post the data on its website.The dismantling of the cover was initially due to start in July of this year.  But the utility deferred the work to come up with ways to ensure that radioactive materials do not spread.When debris from another reactor building was removed last year, some feared that radioactive materials might have dispersed and contaminated nearby rice paddies.The operator hopes to begin taking the fuel out of the storage pool at the No. 1 reactor building in fiscal 2017.


mercredi 15 octobre 2014

Fukushima : TEPCO revoit à la hausse sa marge de sécurité anti-tsunami

Alors que le Japon faisait face le weekend dernier à un risque de typhon des plus sérieux, la compagnie TEPCO (Tokyo Electric Power Compagny) s’est voulue rassurante sur les capacités de résistance aux catastrophes de la centrale de Fukushima, en augmentant de manière significative ses marges de sécurité en matière de risques contre un éventuel nouveau tsunami. Le réacteur 1 de la centrale de Fukushima serait désormais protégé contre des vagues atteignant 26 mètres, contre seulement 14 mètres auparavant. En 2011, la vague faisait 15,5 mètres…

Répondant ainsi aux exigences de l’Autorité de régulation nucléaire (NRA), l’électricien japonais et exploitant de la centrale accidentée a augmenté son dispositif de protection en cas de Tsunami. Une obligation à laquelle doit se soumettre l’ensemble des opérateurs de centrales nucléaires depuis la mise en œuvre des nouvelles normes de sûreté au lendemain de la catastrophe de Fukushima et qui conditionne, entre autres critères, un éventuel redémarrage de ses installations.

S’il n’est bien sûr pas question de redémarrage pour la centrale de Fukushima, désaffectée et vouée au démantèlement, la NRA s’est vue contrainte de rappeler à TEPCO ses obligations en la matière au regard des risques évidents de contamination en cas d’inondation du site. Les bâtiments et réacteurs détruits, ainsi que les quantités considérables d’eau contaminée et de déchets radioactifs stockés sur place, pourraient en effet être emportés au large et libérer des centaines de milliards de becquerels de césium-137 dans l’océan.

L’opérateur de la centrale de Fukushima a donc pris les mesures nécessaires et a relevé la hauteur des vagues potentiellement dangereuses pour le réacteur 1 à plus de 26 mètres et 27,5 mètres pour le réacteur 2. Les autres réacteurs du site, situés à une altitude de dix mètres au dessus du niveau de la mer sont à priori protégés. TEPCO a également multiplié par 1,5 l’ampleur du séisme pouvant être absorbé par ses installations.

Des digues de 14 mètres de hauteur on été installées à divers endroits du site et TEPCO envisage désormais de réduire considérablement les quantités d’eau contaminé présentes sur le site afin d’éviter tout risque de pollution en cas d’inondation.

Détaillé à la NRA le vendredi 3 octobre dernier, ce nouveau plan de sécurité rappelle q’une vague de plus de 26 mètre ne s’écrase sur les côtes nippones que tous les 10.000 à 100.000 ans.

mercredi 1 octobre 2014

entente avec une entreprise britannique

La Compagnie d'électricité de Tokyo, TEPCO, a signé une entente avec une entreprise britannique, afin d'avoir accès à son savoir-faire technique dans le démantèlement de réacteurs nucléaires.

TEPCO recevra l'aide de Sellafield pour le démantèlement de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi, endommagée par l'énorme tremblement de terre et tsunami de 2011. L'opérateur est confronté à de nombreux défis, dont l'accumulation et la fuite d'eau contaminée, de même que la gestion des conditions de travail quotidiennes de ses 5700 employés. 

Sellafield dispose d'une expertise en démantèlement de réacteurs nucléaires et en gestion d'accidents nucléaires.

En 1957 un incendie s'est produit dans un réacteur de l'entreprise qui l'a précédée. Il en est résulté une fuite de matières radioactives.

TEPCO espère que le savoir-faire de Sellafield permettra de réduire l'exposition de ses travailleurs aux radiations. L'opérateur espère également recevoir des conseils sur des aspects techniques et la formation du personnel liés aux analyses des eaux souterraines et de mer. 

L'accord est le premier du genre signé par TEPCO avec une entreprise étrangère.