mardi 31 décembre 2013

Un tremblement de terre de magnitude 5,1 a secoué le Japon

Un tremblement de terre de magnitude 5,1 a secoué le Japon, à environ 80 kilomètres de la centrale nucléaire de Fukushima. Il n'a provoqué aucun dégât.

Un séisme de magnitude 5,1 a secoué le Japon, ce mardi 31 décembre, a annoncé l'Institut de géophysique américain (USGS). L'agence de météorologie nippone n'a déclenché aucune alerte au tsunami et les principaux médias nippons n'ont pas fait état de dégâts notables.

La secousse s'est déclenchée à 10H03 locales (02H03 en France), à moins de 10 km de profondeur. L'épicentre a été localisé par l'USGS sur la côte est de la préfecture d'Ibaraki, en bordure de l'océan Pacifique et à environ 80 kilomètres au sud-ouest de la centrale accidentée Fukushima Daiichi et 150 km au nord-est de Tokyo. Le tremblement de terre a été ressenti dans une bonne partie du nord-est de la grande île japonaise de Honshu et jusqu'à Tokyo, où les immeubles ont légèrement tremblé.

Pas de dégâts à Fukushima

 
Tepco, le gérant de la centrale nucléaire de Fukushima, ravagée par un tsunami géant en mars 2011, a assuré qu'aucun dysfonctionnement nouveau n'avait été constaté mardi après la secousse.

Le Japon reste traumatisé par le tremblement de terre de magnitude 9 qui s'était produit au large de sa côte nord-est le 11 mars 2011 et qui avait déclenché un gigantesque raz-de-marée de plus de 10 voire 20 mètres par endroits, tuant plus de 18.000 personnes.

L'archipel est situé au confluent de quatre plaques tectoniques et enregistre chaque année plus de 20% des séismes les plus puissants recensés sur Terre.

    mercredi 25 décembre 2013

    Certains résidents qui avaient quitté leurs maisons après l'accident à la centrale de Fukushima reviennent dans leurs foyers pour les fêtes du Nouvel an.

    Certains résidents qui avaient quitté leurs maisons après l'accident à la centrale de Fukushima reviennent dans leurs foyers pour les fêtes du Nouvel an.

    Les anciens habitants des régions proches de la centrale ne sont habituellement pas autorisés à passer la nuit dans leur maison. Mais le gouvernement a permis à celles et ceux qui résidaient dans des régions où le niveau de radiation est relativement faible de séjourner chez eux jusqu'au 7 janvier.

    Yoshiyuki Sugi et son épouse sont revenus en voiture mardi à leur maison située dans le quartier Odaka de la ville de Minami Soma pour un séjour temporaire.

    Ils reviennent chez eux une fois par semaine pendant la journée, mais c'est la première fois qu'ils pourront passer la nuit dans leur domicile depuis l'accident nucléaire de mars 2011.

    M. Sugi s'est dit à la fois heureux de rentrer chez lui et inquiet des radiations, car les travaux de décontamination ne sont pas terminés autour de sa maison.

    Selon le gouvernement, quelque 1700 personnes de 556 foyers dans 6 municipalités ont demandé l'autorisation de visiter temporairement leur foyer pendant la période du Nouvel an.



    décontamination dans des régions résidentielles fortement touchées

    Une enquête du gouvernement japonais révèle que les niveaux de radiation ont diminué de plus de la moitié après un essai de décontamination dans des régions résidentielles fortement touchées par l'accident à la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi.

    Le ministère de l'Environnement a commencé ces essais en octobre dans des zones désignées comme inappropriées au logement, en raison de niveaux de radiation supérieurs à 50 millisieverts par an. Les fonctionnaires n'avaient pas entamé une véritable décontamination parce qu'ils estimaient que les résidents auraient des difficultés à y revenir vivre pendant longtemps. Les essais de décontamination ont été entrepris afin de vérifier leur efficacité.

    L'enquête montre qu'après les essais, le niveau moyen de radiation dans trois quartiers résidentiels du village de Namie se situe entre 3,51 et 6,56 microsieverts par heure. Cette valeur est inférieure de moitié au chiffre antérieur aux travaux de décontamination.

    Dans certaines zones, les résultats respectent les critères pour assouplir les restrictions. Mais des décontaminations seront encore nécessaires dans ces régions, car les niveaux dépassent considérablement les normes de sécurité fixées par le gouvernement.



    samedi 7 décembre 2013

    niveaux de radioactivité extrêmement élevés 25 sieverts par heure

    Tepco, la Compagnie d'électricité de Tokyo annonce que les niveaux de radioactivité sont extrêmement élevés dans un endroit proche d'une canalisation de ventilation à sa centrale nucléaire endommagée Fukushima Dai-ichi.

    Tepco a détecté des radiations de 25 sieverts par heure sur un conduit qui relie les bâtiments des réacteurs 1 et 2 à une canalisation de ventilation, haute de 120 mètres.

    Ce niveau de radioactivité est le plus élevé jamais mesuré en dehors des bâtiments des réacteurs. Toute personne exposée à un tel niveau de radioactivité mourrait en 20 minutes.

    La canalisation de ventilation en question a été utilisée pour relâcher les gaz radioactifs, peu après l'accident de la centrale il y a deux ans.



    Tokyo Electric Power Company says radiation levels are extremely high in an area near a ventilation pipe at the crippled Fukushima Daiichi nuclear power plant.TEPCO found radiation of 25 sieverts an hour on a duct, which connects reactor buildings and the 120-meter-tall ventilation pipe.The estimated radiation level is the highest ever detected outside reactor buildings. People exposed to this level of radiation would die within 20 minutes.The exhaust pipe in question was used to release radioactive gases following the outbreak of the accident 2 years ago.TEPCO says radioactive substances could remain inside the pipes.

    Dec. 6, 2013 - Updated 22:13

    jeudi 5 décembre 2013

    Décontamination trop lente à Fukushima

    Environ 1000 jours après la catastrophe nucléaire de Fukushima, de nombreuses zones de la Préfecture sont encore inhabitables. Seulement un tiers des maisons et des routes ont été décontaminées, un peu plus de 10 % des fôrets... Et ce malgré un investissement de plus de 9 milliards d'euros du gouvernement.
     Plus de 150 000 habitants avaient dû quitter la zone après l'accident pour échapper aux radiations.
    ''L'entreprosage des matériaux contaminés est le plus gros problème'', explique ce responsable des opérations. Par ailleurs, le nettoyage qui est fait sur place ne permettra pas d'éliminer une fois pour toutes les radiations, il faut le savoir.
    ''Et le Japon manque de nettoyeurs spécialisés sur le terrain. Les déplacés de Fukushima disent avoir perdu confiance en leur gouvernement.
    Ils attendent dans des campements de fortune de pouvoir retrouner chez eux, s'ils le peuvent un jour : "Je suis déprimée car nous ne pouvons pas retrouver notre vie d'avant. Notre famille a été contrainte de vivre séparément. Et on ne peut pas revenir en arrière.'', explique cette femme.''"J'ai des enfants.
    J''espère qu'il vont pouvoir éliminer la pollution plus rapidement afin que je puisse retrouver ma vie d'avant''dit cet homme.
    Mais la priorité, pour les autorités, est de mener à son terme le démantèlement de la centrale accidentée de Fukushima, qui fait face à de nombreux écueils, à commencer par celui de l'eau contaminée. Tokyo pourrait débloquer 100 millions de dollars de fonds supplémentaires pour remédier au problème.
    Reuters

    vendredi 29 novembre 2013

    nuclear warch


    plus d'efforts pour choisir des sites d'enfouissement

    Le Japon devrait consentir plus d'efforts pour choisir des sites d'enfouissement des déchets nucléaires. Telle est la conclusion d'une commission d'experts réunie pour réfléchir au devenir de ces déchets.   La commission a émis une série de propositions lors d'une réunion jeudi au ministère de l'Industrie. L'utilisation des réacteurs nucléaires produit une importante quantité de déchets hautement radioactifs.   Le gouvernement souhaite les enfouir en profondeur. Il sollicite depuis 2002 les municipalités pour qu'elles se portent candidates. Aucune ne l'a fait. La commission voit dans l'enfouissement des déchets la solution la plus intéressante aujourd'hui.   Considérant que les autorités n'ont pas réussi à obtenir la confiance de la population sur la sûreté d'un tel site d'enfouissement, elle demande au gouvernement de revoir le processus actuel et de proposer une série de zones qui pourraient accueillir un tel site. Les autorités devraient appuyer leurs propositions sur des faits scientifiques, notamment des données sur la stabilité du sol.   La commission a également proposé que les réunions sur l'acceptation d'un tel site soient ouvertes aux élus municipaux et aux habitants.  Le ministère doit inclure ces propositions dans son nouveau projet de politique énergétique, attendu vers la fin de l'année.    

    lundi 25 novembre 2013

    The spent fuel assemblies are highly radioactive so the operation will require extra caution

    The operator of the damaged Fukushima nuclear plant says it will begin removing highly radioactive spent nuclear fuel from one of its reactor buildings on Tuesday.
    On Friday, Tokyo Electric Power Company completed the removal of a cask containing 22 assemblies of unused fuel rods from the storage pool of the Number 4 reactor building to a nearby separate storage pool.
    TEPCO says there were no problems with the first round of transfer, but sand and fine particles in the storage pool impaired visibility. 
     The utility says it will use a pump to clear the pool of particles for the next round of transfers.
    The next round will involve 1,331 assemblies of spent fuel rods, or nearly 90 percent of the 1,511 assemblies in the pool at the Number 4 reactor building. 
    The spent fuel assemblies are highly radioactive so the operation will require extra caution.This will be the first removal of spent nuclear fuel from a reactor building since a massive earthquake and tsunami seriously damaged the Fukushima plant in March 2011.  
    Nov. 25, 2013 - Updated 12:19

    samedi 23 novembre 2013

    premier lot de combustible nucléaire a été transféré

    Selon Tepco, opérateur de la centrale nucléaire endommagée Fukushima Dai-ichi, le premier lot de combustible nucléaire a été transféré du bâtiment abritant le réacteur vers une piscine de stockage plus sûre. 

    Les 22 premières barres de combustible ont été déplacées jeudi de la piscine de stockage située au sein du bâtiment du réacteur numéro 4 vers un bâtiment voisin abritant une piscine plus sûre. 

    Les ouvriers ont déchargé une à une les 22 barres de combustible non utilisées d'un caisson, puis ont procédé à placer chacune de ces barres dans leur nouvelle piscine. Ce processus a pris jusqu'à vendredi soir. 

    Tepco, la Compagnie d'électricité de Tokyo, se prépare à entamer le second transfert après avoir évalué les résultats du premier. S'il s'avère que ce transfert s'est déroulé sans problème, Tepco va se lancer dans le retrait des barres de combustible usagées, qui sont fortement radioactives. 

    La piscine de stockage du réacteur numéro 4 contient encore 1511 barres de combustible, et la plupart d'entre elles sont usagées. 

    Tepco se prépare à répéter ce processus environ 70 fois pour transférer toutes les barres de combustible d'ici la fin de l'année prochaine.



    vendredi 22 novembre 2013

    Tepco, s'apprête à terminer le transfert des premières barres

    La Compagnie d'électricité de Tokyo, Tepco, s'apprête à terminer le transfert des premières barres de combustible de la piscine du réacteur 4 de la centrale nucléaire endommagée Fukushima Dai-ichi. 

    Jeudi, Tepco a transporté le premier caisson chargé de 22 barres de combustible non utilisées dans un bâtiment situé à une centaine de mètres du réacteur 4. Il y a là une piscine plus sécurisée. 

    Ce vendredi, les techniciens doivent transvaser les barres dans des rangements placés au fond de cette piscine. Une fois terminée, l'opération marquera le premier transfert de la piscine du réacteur 4.

    Tepco va passer en revue la procédure pour voir quels ont été les problèmes rencontrés. S'il n'y en a pas, la compagnie pourrait démarrer l'extraction des barres de combustible usagées, plus radioactives que celles non utilisées.



    jeudi 21 novembre 2013

    étape cruciale vers le démantèlement de cette centrale.

    Au Japon, dans la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi, l'opération de retrait du combustible nucléaire d'une piscine de stockage a débuté. C'est une étape cruciale vers le démantèlement de cette centrale. 

    Les travaux dans l'enceinte du réacteur numéro 4 ont débuté mercredi. Une grue est utilisée pour retirer de la piscine un conteneur rempli de combustible nucléaire. 

    Ce conteneur, qu'on appelle aussi sarcophage, peut abriter jusqu'à 22 barres de combustible. Sa charge utile est de 91 tonnes. 

    La grue est équipée d'un double câblage et d'un système qui permet d'atténuer les secousses en cas de séisme. Ce système vise en effet à prévenir la chute éventuelle du sarcophage, ce qui provoquerait une fuite possible de substances radioactives. 

    Une fois le sarcophage hors de la piscine, les techniciens vont retirer les substances radioactives de la surface et les placer dans une autre piscine de stockage cent mètres plus loin. 

    La Compagnie d'électricité de Tokyo, Tepco, prévoit que d'ici la fin de l'année prochaine, le transfert des barres de combustible sera terminé dans l'enceinte du réacteur numéro 4. La piscine compte 1533 barres de combustible, et 1331 d'entre elles contiennent du combustible usagé hautement radioactif.



    mercredi 20 novembre 2013

    planning to decommission the 2 reactors at its Fukushima Daiich

    Tokyo Electric Power Company is planning to decommission the 2 reactors at its Fukushima Daiichi nuclear plant that were not seriously damaged in the March 2011 disaster.TEPCO officials said they will first consult with officials in Fukushima Prefecture and in the towns of Futaba and Okuma.  An official decision to decommission the Number 5 and 6 reactors could come next month.TEPCO is already engaged in work related to decommissioning the 4 other reactors at the plant, which were severely damaged.Prime Minister Shinzo Abe urged TEPCO in September to decommission the Number 5 and 6 reactors and concentrate on responding to problems caused by the March 2011 nuclear accident.The utility plans to use facilities at the plant for training workers involved in decommissioning the 4 severely damaged reactors.TEPCO is already organizing funding for decommissioning the other 2 reactors. But the company is expected to fall short by 267 million dollars if the official decision to decommission is made during the current fiscal year.The utility is allowed to cover the shortfall by raising power rates.  Nov. 20, 2013 - Updated 05:57



    Workers have begun removing nuclear fuel from a storage pool at the Fukushima Daiichi power plant.  The procedure is a critical step in the decommissioning of the plant.The work at the No. 4 reactor building began on Wednesday.  Workers are using a crane to lift a container loaded with nuclear fuel out of the pool.The container, called a "cask," can carry up to 22 fuel units and weighs 91 tons when fully loaded.The crane is equipped with double cables and a system to mitigate shaking from earthquakes to prevent the cask from falling.  Radioactive material could leak if this happens.Once the cask is out of the pool, workers will remove radioactive substances from its surface, and transfer it to another storage pool about 100 meters away.The workers have spent the past 2 days transferring nuclear fuel units into the container.  They performed this part of the task inside the pool with an underwater camera. Small pieces of debris that fell into the pool during the 2011 accident have made it hard to see.Tokyo Electric Power Company aims to complete the transfer of the fuel units at the No. 4 reactor building by the end of next year.  The pool has 1,533 fuel units, and 1,331 of them contain highly radioactive spent fuel.  Nov. 20, 2013 - Updated 06:09

    Ce mercredi, une grue est en train de soulever un conteneur d'une capacité maximale de 22 unités de combustible

    A la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi, les techniciens ont commencé à enlever les barres de combustible d'une piscine de stockage. Le retrait de ce carburant est une étape-clé pour le démantèlement de la centrale sinistrée.

    Ce mercredi, une grue est en train de soulever un conteneur d'une capacité maximale de 22 unités de combustible. Ce conteneur se trouve dans la piscine de stockage du bâtiment du réacteur 4.

    Le retrait du combustible a commencé lundi. Le lendemain, les travailleurs ont terminé le transfert dans le conteneur de 22 assemblages de combustible non irradié.

    Selon la Compagnie d'électricité de Tokyo, les deux premières journées se sont déroulées sans problème.

    Le conteneur, qui est une espèce de caisson, pèse 91 tonnes lorsqu'il complètement chargé de barres de combustible. Si la grue laisse tomber ce conteneur, des fuites radioactives pourraient se produire.

    La grue utilise des câbles doublés et elle est dotée d'un système qui réduit les secousses en cas de tremblement de terre.

    Une fois le conteneur sorti de la piscine, les employés enlèveront les matériaux radioactifs de sa surface et vérifieront s'il y a eu des fuites d'eau contaminée.

    Les assemblages de combustible seront ensuite transportés dans une autre piscine de stockage, située à une centaine de mètres.

    L'opérateur de la centrale souhaite terminer le transfert des barres de combustible du bâtiment du réacteur 4 d'ici la fin 2014.



    lundi 18 novembre 2013

    Removal of fuel rod units at the Fukushima Daiichi nuclear power plant in northeastern Japan starts

    The removal of fuel rod units at the Fukushima Daiichi nuclear power plant in northeastern Japan 
    starts on Monday.
    This is the first critical step in decommissioning the facility in Fukushima .
    Tokyo Electric Power Company, or TEPCO, said that workers will start removing units of nuclear 
    fuel rods from a storage
     pool at the plant's Number 4 reactor.The pool holds 1,533 units of which 1,331 are highly radioactive 
    spent fuel rod units 
    and 202 that are unused.In March 2011, a hydrogen explosion severely damaged the reactor building. 
    The workers will use a crane attached to a specially built structure.
    In preparation for the removal, TEPCO conducted inspections on the new facility and trained the workers 
    who will participate in the removal.They plan to transfer the units into a cask under water in the pool, 
    then use a crane
     to lift out the cask and transfer it to an outside storage pool about 100 meters away.
    In the morning an empty cask will be lowered into the pool and the fuel rod units will be placed into
     it in the afternoon.
    The pool is still littered with small debris that could hamper smooth removal of the units.
    Some damage to the units that was previously unknown could still be found.  
    The job requires extreme caution as any damage to the fuel rod units or the cask could unleash 
    high-level radiation.
    The start of the removal is the first milestone in an unprecedented decommissioning process
     that could span 4 decades.
    TEPCO plans to finish removing all the fuel rod units from the Number 4 reactor by the end of 2014.
      Nov. 18, 2013 - Updated 00:22

    vendredi 15 novembre 2013

    de l'eau radioactive s'échappe d'un des réacteurs

    L'opérateur de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi a publié des images vidéo filmées par un robot. Elles révèlent des endroits où de l'eau radioactive s'échappe d'un des réacteurs.

    Mercredi, Tepco est parvenu à télécommander un robot près de la partie inférieure de l'enceinte de confinement du réacteur numéro 1. Une caméra installée sur le robot a filmé deux emplacements par lesquels de l'eau fuit sur le sol du bâtiment qui abrite le réacteur.

    Hiroshi Miyano, un professeur de l'université Hosei, estime que la grande quantité d'eau répandue fait penser qu'il peut exister des dégâts relativement importants dans des pièces telles que des joints entre l'enceinte de confinement et la piscine de condensation.

    Selon le professeur Miyano, il est possible que des pièces assemblées aient été déplacées par l'effet de l'explosion d'hydrogène, subie par le réacteur peu après l'accident de mars 2011.

    http://youtu.be/CBIxE0woa9Q




    mardi 12 novembre 2013

    Vérifications des équipements avant de procéder au retrait du combustible nucléaire d'un réacteur

    A la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi, l'organisme japonais de régulation du nucléaire vient de terminer ses vérifications des équipements avant de procéder au retrait du combustible nucléaire d'un réacteur.

    Retirer les barres de combustibles constitue un élément principal du projet de démantèlement. Ce projet devrait prendre environ 40 ans. L'opérateur de la centrale, la Compagnie d'électricité de Tokyo, prévoit de démanteler quatre réacteurs endommagés.

    La société se prépare à extraire 1533 barres de combustible de la piscine de stockage du réacteur 4 de la centrale. C'est la quantité de combustible la plus importante parmi les quatre réacteurs.

    Mardi, des responsables de l'ARN, l'Autorité de régulation du nucléaire, ont déclaré qu'ils ont inspecté une grue, la façade du bâtiment ainsi que d'autres équipements et qu'ils n'ont décelé aucun problème. Les inspections ont commencé en septembre.

    L'ARN prévoit de commencer les procédures d'inspection mercredi afin de s'assurer que les déchets dans la piscine n'endommageront pas les barres de combustible, hautement radioactives pour la plupart.

    Si l'organisme venait à constater des problèmes lors des opérations, Tepco se verrait alors dans l'obligation de repousser les opérations à la mi-novembre.



    lundi 11 novembre 2013

    Violent séisme au Japon

    Un violent séisme de magnitude 5,5 a secoué dimanche matin une large partie de l'est du Japon, dont la capitale Tokyo, a annoncé l'Agence nationale de météo.

    Un violent séisme de magnitude 5,5 a secoué dimanche matin une large partie de l'est du Japon, dont la capitale Tokyo, a annoncé l'Agence nationale de météo. | AFP/Frederick Florin

    Zoom
    Un violent séisme de magnitude 5,5 a secoué dimanche matin une large partie de l'est du Japon, dont la capitale Tokyo, a annoncé l'Agence nationale de météo, mais aucun dégât ni blessé n'a été signalé pour le moment, selon les chaînes de télévision. L'épicentre de cette secousse, qui s'est produite vers 07H38 (samedi 22H38 GMT), se trouvait dans la partie nord de la préfecture d'Ibaraki, au nord de Tokyo, à 70 km de profondeur.

    «Il n'y a pas de risque de tsunami», a précisé l'agence.

    Aucune anomalie n'a été constatée à la centrale accidentée de Fukushima, également secouée, ni dans d'autres sites nucléaires de la région, tous arrêtés depuis mars 2011, selon les opérateurs concernés. Le tremblement de terre a été bien ressenti par les habitants de la capitale. «Cela a bougé pendant une trentaine de secondes, mais les objets ne sont pas tombés», selon une personne qui se trouvait près de l'épicentre, citée par la télévision.

    Les secousses fortement ressenties


    Les trains à grande vitesse Shinkansen ont été arrêtés quelques minutes pour un contrôle des voies, mais le trafic a vite normalement repris.Quelques rames roulent au ralenti sur les autres lignes, mais aucun tronçon n'est suspendu, selon la compagnie JR East. A l'aéroport de Tokyo-Narita, les trépidations ont aussi été ressenties mais pas trop violemment et n'ont en rien perturbé les opérations.

    «Des répliques peuvent se produire, soyez donc vigilants»,  a cependant indiqué l'Agence de météo.

    Ce nouveau fort séisme dans l'est survient exactement deux semaines après un autre, plus violent encore (de magnitude 7,1), qui avait provoqué un petit tsunami sur la côte nord-est du Japon, sans cependant faire de victimes ni de dommages.

    Un pays traumatisé
    Le Japon reste traumatisé par le tremblement de terre de magnitude 9 qui s'était produit au large de sa cote nord-est le 11 mars 2011 et avait déclenché un gigantesque raz-de-marée de plus de 10 voire 20 mètres par endroits, tuant plus de 18.000 personnes.Ce tsunami avait été à l'origine de la catastrophe  de Fukushima, un complexe atomique qui est toujours extrêmement vulnérable. Le Japon est situé au confluent de quatre plaques tectoniques et enregistre chaque année plus de 20% des séismes les plus puissants recensés sur Terre.

    jeudi 7 novembre 2013

    1500 barres de combustible seront progressivement retirées

    L'opérateur de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi prépare une opération décisive pour le démantèlement des réacteurs. A compter de la mi-novembre, 1500 barres de combustible seront progressivement retirées d'un bassin de refroidissement.

    Cette opération entame un processus qui devrait s'étaler sur une période de 30 à 40 ans.

    Les techniciens de la Compagnie d'électricité de Tokyo vont commencer par le réacteur numéro 4, dont la piscine contient 1533 barres de combustible, fortement radioactives pour la plupart.

    TEPCO devra par ailleurs extraire les barres des piscines attenantes à 3 autres réacteurs, encore plus endommagés. Ces travaux devraient débuter dans 2 ans environ.




    samedi 2 novembre 2013

    les Etats-Unis pourraient aider le Japon à extraire le tritium présent dans l'eau

    Selon le secrétaire américain à l'Energie, les Etats-Unis pourraient aider le Japon à extraire le tritium présent dans l'eau contaminée de la centrale Fukushima Dai-ichi.

    Ce samedi, à Tokyo, Ernest Moniz a accordé un entretien à la NHK, au lendemain de sa visite dans la centrale.

    Il s'est dit choqué par l'étendue des dégâts, plus de 2 ans et demi après le tsunami et l'accident nucléaire de 2011.

    "J'ai pu me rendre compte de la pénibilité des travaux sur le site, où les techniciens doivent porter des masques et des équipements de protection", a-t-il déclaré.

    Il a notamment évoqué les problèmes posés par la gestion de l'eau contaminée.

    La Compagnie d'électricité de Tokyo est parvenue à extraire de ces eaux l'essentiel des substances radioactives, à l'exception du tritium, qui émet des rayons béta dans des proportions relativement faibles.

    Pour M. Moniz, l'extraction du tritium constitue donc un défi à relever. Il a toutefois précisé que son département, tout comme les entreprises américaines concernées, avaient eu à gérer des problèmes d'eau contaminée, dans le passé.



    des experts à Fukushima pour faire la lumière sur les fuites d'eau

    Le chef de l'AIEA, l'Agence internationale de l'énergie atomique, va dépêcher des experts à Fukushima pour faire la lumière sur les fuites d'eau contaminée dans la centrale nucléaire endommagée.

    Le directeur général de l'AIEA Yukiya Amano s'est adressé vendredi à la presse, à Washington.

    Il a déclaré qu'il comptait mobiliser, fin novembre, une équipe d'experts chargés d'enquêter sur les fuites d'eau radioactive et sur l'avancée des travaux de démantèlement de la centrale.

    M. Amano a précisé que des spécialistes de l'eau de mer feraient partie de l'équipe, ajoutant que cette initiative devrait contribuer à dissiper les craintes de la communauté internationale, notamment des pays voisins de l'Archipel, sur les fuites d'eau contaminée.



    help Japan in removing hard-to-filter radioactive tritium from waste water

    The US Energy Secretary says his government and US companies could help Japan in removing hard-to-filter radioactive tritium from waste water at the country's crippled nuclear plant.Ernest Moniz spoke to NHK on Saturday in Tokyo, one day after visiting the Fukushima Daiichi plant.Moniz said he was shocked to see the scale of the damage that remains more than 2 and half years after the tsunami disaster and the nuclear accident.He said he also sensed how difficult work at the plant is with workers required to wear full face masks and other protective gear.
    In particular, he referred to the issue of processing  radioactive waste water.Tokyo Electric Power Company has been able to remove most of the radioactive materials from the processed water. The one exception is tritium, which emits beta rays with comparatively weaker energy.
    Moniz said removal of tritium is a challenge.  
    But he stressed that his department and US firms have experience in processing the material when they dealt with nuclear waste water in the past.  
    Nov. 3, 2013 - Updated 01:55

    vendredi 25 octobre 2013

    l’exploitant de la centrale de Fukushima, Tepco, prévoit de retirer les combustibles de la piscine n°4

    Travaux sur le combustible de la piscine n°4

    À partir du 8 novembre, l’exploitant de la centrale de Fukushima, Tepco, prévoit de retirer les combustibles de la piscine n°4, soit une semaine plus tôt que prévu.

    Une pompe à béton devant le bâtiment de l'un des réacteurs de la centrale de Fukushima (© JorgeRodriguez)

    Une pompe à béton devant le bâtiment de l’un des réacteurs de la centrale de Fukushima (© Jorge Rodriguez)

    L’opération devrait s’étirer sur plus d’un an et marquera une nouvelle étape dans le démantèlement des réacteurs endommagés.

    Le réacteur n°4 n’a pas subi de fusion car le combustible était stocké dans une piscine pour des opérations de maintenance. Mais le bâtiment a été endommagé par une explosion due à l’hydrogène et il contient encore près de 1300 assemblages de combustible.

    Tepco avait prévu de commencer les travaux mi-novembre mais le bon avancement des préparatifs permettra de débuter plus tôt si les installations, dont une grue, sont validées par l’Autorité de réglementation nucléaire.

    Le combustible sera transporté dans un nouveau bâtiment éloigné d’une centaine de mètres, la piscine commune. Là, il sera entreposé dans de meilleures conditions, notamment en ce qui concerne son refroidissement.

    Le transfert devra se faire alors que de nombreux problèmes persistent encore à la centrale, en particulier la gestion des eaux hautement contaminées qui s’écoulent dans l’océan Pacifique. En effet de l’eau est toujours injectée dans les réacteurs 1, 2 et 3 afin de les refroidir et continue de fuir hors des bâtiments et de s’infiltrer dans le sol.

    séisme de magnitude 7,3

    Un séisme de magnitude 7,3 a été enregistré dans la nuit de vendredi à samedi au large de la côte est du Japon, suivi d'un tsunami de faible ampleur. Un ordre d'évacuation a été adressé au personnel de la centrale de Fukushima.

    jeudi 24 octobre 2013

    140,000 becquerels per liter of Beta-ray emitting radioactivity in an onsite ditch

    The operator of the crippled Fukushima Daiichi nuclear plant is racing to secure storage space for tainted rainwater as another powerful typhoon approaches.Tokyo Electric Power Company has begun moving the rainwater into underground pools once deemed too leaky. 
    The water is the result of typhoons and downpours that have filled barriers around radioactive waste water tanks.
    TEPCO has been storing the most contaminated rainwater in tanks and in the basement of a turbine building.  
    But with Typhoon Francisco set to hit Japan's mainland over the weekend, the tanks are full.Japan's nuclear regulator has approved moving the tainted water to 3 underground pools.  The pools have a total capacity of about 9,000 tons.
    TEPCO stopped using the pools after similar models leaked in April.  The utility now says it has no other option but to use them.The utility also says it found 140,000 becquerels per liter of Beta-ray emitting radioactivity in an onsite ditch on Wednesday. 
    The radioactivity has doubled since the previous day. 
     TEPCO says it is transferring the contaminated water to a tank.
      Oct. 23, 2013 - Updated 22:39

    http://youtu.be/NP3A6LulO4M


    mercredi 23 octobre 2013

    très faible quantité de césium radioactif a été détectée à environ un kilomètre de la centrale nucléaire

    La Compagnie d'électricité de Tokyo a déclaré qu'une très faible quantité de césium radioactif a été détectée à environ un kilomètre de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi.

    Tepco a analysé des échantillons d'eau de mer prélevés dans cinq endroits différents en dehors du port de la centrale. Ces prélèvements ont pour but de surveiller la propagation des substances radioactives dans les eaux usées. Des spécialistes pensent qu'elles ont pu se déverser dans les eaux souterraines.

    Un échantillon prélevé vendredi à environ un kilomètre du littoral contenait 1,6 becquerel de césium 137 par litre.

    Tepco a déclaré qu'il ne connaissait pas la raison pour laquelle du césium a été détecté à cet endroit précis. Mais la compagnie a indiqué que ceci ne représente aucun risque pour l'environnement car le niveau de césium relevé est proche du seuil minimum toléré. Elle a ajouté que quasiment aucune autre trace de césium n'a été détectée en d'autres endroits situés hors du port.



    mardi 22 octobre 2013

    additional pumps to cope with radiation-contaminated rainwater.

    The operator of the Fukushima Daiichi nuclear plant is bracing for more downpours by adding additional pumps to cope with radiation-contaminated rainwater.
    A weekend storm caused accumulation of rainwater inside tank barriers that are meant to contain radiation leaks. 
    The tainted water overflowed 11 barriers on Sunday.At 6 of them, the spilled rainwater contained radioactive strontium above the government-approved release limit of 10 becquerels per liter.
      Levels at the most contaminated site were at 71 times that limit.
    Tokyo Electric Power Company said that pumps installed to drain rainwater from the barriers didn't have enough capacity to keep up with the rising water levels.
    TEPCO says it will add 19 more pumps that can drain up 60 tons of water per hour.  
    This will boost the system's pumping capacity to about 4 times the current level.
    The utility also plans to use larger draining hoses to speed up the transfer of water from the barriers.
    The operator says it will measure radiation levels of water in the barriers before removing it to containers.  This is to ascertain its toxicity before it is diluted by added rainwater.
    A TEPCO official admitted that the company underestimated the amount of possible rainfall. The official said TEPCO will bring in more workers if necessary. 
     Oct. 22, 2013 - Updated 03:00

    plans to monitor offshore radiation around the clock.

    The operator of the damaged Fukushima Daiichi nuclear power plant has announced plans to monitor offshore radiation around the clock.
    TEPCO officials met with a panel of Nuclear Regulation Authority experts on Monday. The panel is studying the impact of radioactive water leaks from the plant.
    TEPCO workers currently measure radiation levels in the port and near the shores once a day.
    But many experts have been calling for 24-hour monitoring to allow faster responses to unexpected leaks and provide a clearer idea of how much water has escaped.
    TEPCO officials said they will provide more details of the plan at a meeting scheduled for next month.The nuclear regulators have proposed expanding the offshore monitoring from the current 300 kilometers to between 1,000 and 3,000 kilometers.One regulator said the agency will ask the operators of oceangoing vessels to collect data for northern Pacific Rim countries that are worried about radioactive leaks. 
     Oct. 21, 2013 - Updated 22:15

    lundi 21 octobre 2013

    une partie de cette eau pourrait avoir coulé dans l'océan.

    A Fukushima, des niveaux dangereux de strontium radioactif ont été détectés dans de l'eau qui s'écoule de la centrale nucléaire sinistrée. Dans certains cas, le niveau de radioactivité correspond à 71 fois la norme de sécurité du gouvernement.

    Selon l'opérateur de la centrale, la Compagnie d'électricité de Tokyo, une partie de cette eau pourrait avoir coulé dans l'océan.

    Dimanche, des travailleurs ont constaté que de l'eau avait débordé de barrières entourant des réservoirs à onze endroits du complexe nucléaire, en raison des pluies récentes.

    A six des onze endroits, le niveau de radiation dépassait les normes gouvernementales jugées sécuritaires pour le déversement d'eau à l'extérieur des barrières.

    La Compagnie d'électricité de Tokyo, Tepco, estime que l'eau a cessé de s'écouler tard dimanche soir quand la pluie a diminué. Mais selon Tepco, une partie de cette eau pourrait avoir débordé dans un fossé voisin avant de s'écouler dans l'océan.

    La compagnie est aux prises avec des fuites et des déversements d'eau contaminée à la centrale Fukushima Dai-ichi. Lors du typhon de la semaine dernière, des pompes n'ont pas pu fournir à la tâche avec l'eau qui montait à l'intérieur des barrières.

    Avec un autre typhon qui s'approche de l'Archipel, Tepco s'efforce de régler d'urgence une multitude de problèmes et tente de savoir jusqu'où l'eau qui a débordé, s'est répandue.



    dimanche 20 octobre 2013

    Les relevés concernant du tritium radioactif ont également atteint un record de 790.000 becquerels

    Les niveaux de radioactivité des eaux souterraines sont montés en flèche à la centrale endommagée de Fukushima près du réservoir duquel ont fui 300 tonnes d'eau radioactive en août, a annoncé la compagnie japonaise Tepco.
    Tepco a indiqué que les prélèvements effectués jeudi à partir d'un puits contenaient 400.000 becquerels par litre de substances émettant des rayons bêta, le niveau le plus haut relevé depuis l'accident  provoqué par le tsunami de mars 2011. 

    Les prélevements effectués les jours précédents donnaient des niveaux nettement moins élevés allant de 60 à 90 becquerels par litre.
    Les relevés concernant du tritium radioactif ont également atteint un record de 790.000 becquerels, a précisé Tepco.
    Le réservoir qui fuyait avait été découvert en août. Tepco a précisé que depuis un certain nombre de mesures ont été prises dont le déplacement de l'eau radioactive et l'enlèvement de la terre souillée.
    "Les autres réservoirs ne montrent pas un tel niveau. Nous devons prendre d'autres mesures pour les zones se situant aux alentours de ce puits", a déclaré le porte-parole de Tepco Masyuki Ono vendredi soir au  d'une conférence de presse.
    Tepco a enlevé la plus grande partie des terres contaminées en août, mais paraît avoir échoué à avoir récupéré toutes les substances radioactives, a reconnu Ono.
    Les pluies abondantes des dernières semaines ont pu charrier des matières contaminées vers le réservoir, a-t-il ajouté, affirmant que Tepco ferait en sorte d'enlever les sols contaminés et les eaux du sous-sol.
    De son côté le Premier ministre japonais Shinzo Abe a visité samedi un port de pêche à Matsukawaura, situé à 40 kms de la centrale de Fukushima, et a mangé du poisson local pour montrer qu'il était sain.
    Après avoir promis aux pêcheurs de donner des informations précises à la population, il a déclaré: "J'espère que les Japonais viendront ici pour savoir que c'est bon et sain". 
    Des dizaines de milliers d'habitants ont été évacués de la région de Fukushima depuis la catastrophe et ne peuvent toujours pas retourner chez eux.
    De l'eau radioactive a été stockée dans environ 1.000 réservoirs par Tepco mais la compagnie a reconnu que du liquide contaminé est parti en mer.


    vendredi 18 octobre 2013

    400,000 becquerels per liter

    The operator of the Fukushima Daiichi nuclear power plant says that it has detected a sharp rise in radioactivity in a well near a storage tank.
    The tank leaked more than 300 tons of contaminated water in August. Some of it is believed to have poured into the sea via a ditch.Officials of the Tokyo Electric Power Company say that they detected 400,000 becquerels per liter of beta ray-emitting radioactive substances, including strontium, at the well on Thursday.
    The level is 6500 times higher than the readings on the previous day.The well was dug to monitor the impact of the leakage and is located at about 10 meters from the tank.High levels of radioactive tritium, which tends to be transferred easily in water, had been already detected.TEPCO officials believe Thursday's findings show that radioactive substances such as strontium, which are transferred relatively slowly, have reached the ground water.
    There is another well about 100 meters from the tank near the seaside.  It's for pumping up groundwater before it seeps into the reactor building and vicinity so as to contain the increase of contaminated water.
    TEPCO will remove the contaminated soil around the tank and continue to closely watch radioactivity levels of the groundwater at the monitoring well.  Oct. 18, 2013 - Updated 00:48

    jeudi 17 octobre 2013

    detected high levels of radioactivity

    The operator of the damaged Fukushima Daiichi nuclear power plant says it has detected high levels of radioactivity in a ditch leading to the sea, after Typhoon Wipha brought heavy rain.
    Workers at the plant are conducting daily radioactivity checks of water in the ditch.
      The measure is to examine the effects of contaminated water leaks from storage tanks.Officials at the Tokyo Electric Power Company say they detected 1,400 becquerels per liter of beta ray-emitting radioactive material at a measuring point 150 meters from the sea on Wednesday.
    The figure was more than 70 times higher than readings taken on Tuesday.  It's also the highest since monitoring of the ditch water was started in August.
    Officials say rain from the typhoon caused contaminated soil to flow into the ditch and created the high radioactivity.They say they will begin a cleanup operation.Officials also say they will assess the effects on the surrounding sea.  Oct. 17, 2013 - Updated 02:56

    mercredi 16 octobre 2013

    TEPCO released rainwater

    Workers at the damaged Fukushima Daiichi nuclear power plant have released rainwater that had accumulated in the compound from typhoon Wipha.
    The plant operator says the water had cleared tests for radioactivity.Tokyo Electric Power Company says the rainwater had accumulated in barriers surrounding the tanks used to store radioactive water. 
     TEPCO checked the water on Tuesday and officials say it cleared the standards set by the Nuclear Regulation Authority.
    The utility says it released about 40 tons of rainwater on Wednesday morning.Officials say the water underwent 5 radioactivity checks including those for cesium-134 and strontium-90.
    They say the level of tritium, which takes longer than other substances to measure, also likely meets standards for radioactive wastewater normally released into the sea.  
    They say the deduction is based on past measurements.
    TEPCO has increased the number of tanks, personnel and patrols dedicated to controlling contaminated water since a storm earlier this month.
    Radioactive water overflowed at that time from a barrier and from an overfilled tank. 
     Oct. 16, 2013 - Updated 02:56

    dimanche 13 octobre 2013

    TEPCO underestimated radiation doses workers

    A UN panel says Japanese authorities may have underestimated radiation doses workers 
    received in the initial phase of the Fukushima nuclear crisis in 2011.
    Investigators from the UN Scientific Committee of Atomic Radiation recently filed their report
    .They raised doubts about estimates by the Japanese government and plant operator
     Tokyo Electric Power Company.
    Panel members analyzed records of 25,000 workers who worked at the plant until last October,
     paying special attention
     to 12 workers with higher doses.The UN committee found the Japanese government and TEPCO 
    ignored the effects of radioactive iodine.
    Some kinds of iodine have much shorter half-lives than other radioactive 
    substances.  Analysts would have had to test workers immediately to discover the true dose.
    But the investigators pointed
     to a substantial delay in measuring procedures.  
    They concluded that current estimates may be 20 percent lower than 
    they should be.The committee urged the government and TEPCO
     to observe workers' conditions over the long term.  
    Oct. 13, 2013 - Updated 02:04

    vendredi 11 octobre 2013

    Radioactive cesium has been detected in seawater

    Radioactive cesium has been detected in seawater outside the port of the damaged Fukushima Daiichi nuclear power plant.The plant's operator, Tokyo Electric Power Company, says it took a seawater sample on Tuesday outside a breakwater about one kilometer off the coast.
    The company began monitoring at that spot in August, after it acknowledged in July that contaminated groundwater had been seeping into the ocean.
    One-point-four becquerels per liter of cesium-137 was found in the sample.  This is the first time that the radioactive material has been detected in seawater taken at that spot.TEPCO officials say the radiation level is lower than the safety standard for drinking water set by the World Health Organization, which is 10 becquerels per liter.
    They say a seawater sample taken from the spot on Thursday did not contain a detectable level of cesium.They will continue to monitor seawater to find out whether contaminated groundwater is affecting the seawater outside the plant's port.  Oct. 10, 2013 - Updated 17:25