mercredi 25 décembre 2013

décontamination dans des régions résidentielles fortement touchées

Une enquête du gouvernement japonais révèle que les niveaux de radiation ont diminué de plus de la moitié après un essai de décontamination dans des régions résidentielles fortement touchées par l'accident à la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi.

Le ministère de l'Environnement a commencé ces essais en octobre dans des zones désignées comme inappropriées au logement, en raison de niveaux de radiation supérieurs à 50 millisieverts par an. Les fonctionnaires n'avaient pas entamé une véritable décontamination parce qu'ils estimaient que les résidents auraient des difficultés à y revenir vivre pendant longtemps. Les essais de décontamination ont été entrepris afin de vérifier leur efficacité.

L'enquête montre qu'après les essais, le niveau moyen de radiation dans trois quartiers résidentiels du village de Namie se situe entre 3,51 et 6,56 microsieverts par heure. Cette valeur est inférieure de moitié au chiffre antérieur aux travaux de décontamination.

Dans certaines zones, les résultats respectent les critères pour assouplir les restrictions. Mais des décontaminations seront encore nécessaires dans ces régions, car les niveaux dépassent considérablement les normes de sécurité fixées par le gouvernement.



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