dimanche 10 juin 2012

Un rapport du gouvernement japonais estime qu'une grande partie des personnes évacuées après la catastrophe nucléaire de Fukushima ne pourront pas rentrer chez elles dans un avenir proche, pas même avant 10 ans

Un rapport du gouvernement japonais estime qu'une grande partie des personnes évacuées après la catastrophe nucléaire de Fukushima ne pourront pas rentrer chez elles dans un avenir proche, pas même avant 10 ans.

En cause, les niveaux de radiation autour de la centrale Fukushima Dai-ichi. Ils devraient dépasser la norme annuelle de sûreté, fixée à 20 millisieverts, dans six villes et villages aujourd'hui interdits d'accès.

Le rapport a été présenté samedi aux responsables locaux dans la préfecture de Fukushima.

Parmi les 86 000 personnes évacuées des municipalités classées comme zones interdites, 32 pour cent ne devraient pas pouvoir rentrer chez elles d'ici 2017. La proportion pourrait atteindre 18 pour cent d'ici 2022.


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